Ma­ria de la Paz & Cel­lier

Le 14 décembre, assistez à la magnifique rencontre musicale entre Maria de la Paz et Alexandre Cellier, qui a donné naissance à un répertoire métissé alliant compositions, chansons sud-américaines, tangos et improvisations spontanées. L’occasion de voyager à la salle de l’azimut, à Estavayer.

Une magnifique rencontre musicale entre Maria de la Paz et Alexandre Cellier a donné naissance à un répertoire métissé alliant compositions, chansons sud-américaines, tangos et improvisations spontanées.

Il a fallu que Maria de la Paz quitte l’Argentine pour qu'elle revienne au tango. Depuis dix ans, elle voyage régulièrement entre ses deux horizons : l’enfance du Nouveau Monde et sa vie de femme musicienne en vieille Europe. En Suisse, elle rencontre Alexandre Cellier, passionné de musiques du monde et de rencontres musicales. Son instrument de prédilection est le piano mais le voyage musical se poursuit avec des instruments insolites comme le Hang, la Fujara et des improvisations surprenantes peuvent surgir d'instruments fabriqués sur scène ou d'objets détournés de son jardin ou d'un ménage qui deviendra enchanté.

« Une Forêt tropicale, un nuage de toucans qui s’envolent, une liane en mouvance, ivresse et tendresse, le chant profond du lointain et de l’ailleurs. Une ondulation qui vous prend la main, une mélodie qui ne vous quittera plus… C’est elle Maria de la Paz », écrit le sculpteur Pierre Küenzi.

« Dans une foule regardez avec émerveillement cette tête qui dépasse, recouverte d’un buisson rempli d’innombrables instruments de musique. Un chant jaillira et vous serez hypnotisés par un personnage orpailleur de mélodies et colporteur de joies orchestrales. Le musicien, c’est lui Alexandre Cellier »